Extrait:
Italienne, jeune et héroïnomane, F. meurt du sida. Elle a développé la maladie dans un centre Narconon, l’antenne de l’Eglise de scientologie spécialisée dans la lutte contre la drogue. F. était séropositive. Ses “soignants” ne l’avaient juste pas diagnostiquée. Avant de succomber, F. avait confessé que toutes sortes de produits prohibés circulaient dans le centre, où elle était littéralement internée.
Les paradis artificiels, on y entre facilement. Plus compliquée est la sortie. Parmi ceux qui proposent de s’extirper de la galère : Narconon, qui agit aussi sous l’appellation de Fondation pour un monde sans drogues. On sait la Scientologie investie dans la fabrique des “Clairs“, c’està- dire des surhommes, à partir des pauvres loques que nous serions avant d’être éclairés par ses lumières. Alors, des accros à l’héroïne, à la cocaïne, au crack ou même à la marijuana, c’est encore mieux pour la démonstration. Ils constituent des proies faciles, plus vulnérables.
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Au passage, Les Inrocks mentionne la série de vidéo de David Love filmés par les Anonymous du Québec.
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