Selon ce que rapporte Digital Journal, la scientologie aurait remis des documents falsifiés à la Cour:
Another Church of Scientology recruiter, Jean-François Valli, was also questioned about his commission on sales of the church’s products and services. He tried to justify his payment by supplying documents to the court, one of which was an internal financial document dating from 1998 and containing figures relating to cash payments which were expressed in euros. That which surprised the court, and subsequently led to Valli being reminded that the euro didn’t come into existence as a hard currency until 2002.
Selon l'Agence France-Presse, les porte-paroles de la scientologie ont aussi été remarqué par la présidente de la Cour, Sophie-Hélène Chateau... qui s'est permis de relever à l'un d'entre eux «J'imagine que vous avez été bien entraîné», en référence à un exercice scientologue, le TR-L (Training Routine for Lying), qui consiste à apprendre à mentir sans broncher.
Pour un exemple concret, voici un extrait du journal Le Parisien:
Si le tribunal lui fait remarquer que, pourtant, des témoignages de scientologues, et même des textes de Ron Hubbard indiquent qu'il faille remplir des objectifs chiffrés, il rétorque que ceux-ci sont religieux... et que l'aspect financier se lie forcément à la religion. «Nous ne sommes pas un grand magasin!», plaide Eric Roux, niant toute forme de relance téléphonique pour les adeptes peu pratiquants, comme s'en était émue une plaignante, ou toute forme de «vente à la dure (une technique appelée hard sale en scientologie, NDLR)».
L'explication à ce sujet, c'est Aurore Nadler qui l'apportera au tribunal: «En fait, hard sale, cela veut dire prendre soin de la personne, c'est une définition scientologue», indique la gérante de fait de la librairie. «Ah bon?» s'étonne la présidente. «Oui, cela veut dire qu'on prend tout le temps nécessaire pour comprendre ses besoins.» Puis lui vendre des «services religieux».
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