(Vous trouverez ici la 1ère et la 2e partie)
Plusieurs politiciens à travers le monde ont déjà été trompés par des scientologues avides de créer ce qu'ils appellent «un environnement sécuritaire».
Il s'agit pour la scientologie de gagner la confiance de dirigeants politiques dans le but de fabriquer une image idyllique de la scientologie pour ses adeptes et le public en général.
On soupçonne même la scientologie d'infiltration ou d'entrisme, comme le montre les derniers événements en France...
Les politiciens canadiens ne font pas exception.
Cette série de billets vise à démontrer que tous les partis politiques actuellement présents à la Chambre des communes ont été victimes du manque de transparence de la scientologie, une organisation reconnue coupable d'abus de confiance au Canada.
(La scientologie en «campagne antidrogue» devant le Parlement du Canada à Ottawa.)
Dans cette 3e partie, voyons ce qu'il en est du Bloc Québécois, parti d'opposition dirigé par M. Gilles Duceppe.
Cette bannière de Narconon Trois-Rivières, un organisme qui est à la fois un centre de désintoxication et un groupe de façade de la scientologie, offre décidément de bonnes informations.
En effet, on y reconnait la signature de M. Louis Plamondon, député bloquiste de Bas-Richelieu-Nicolet-Bécancour.
M. Plamondon savait-il ce que représente réellement Narconon?
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